L'utilisation rationnelle des masques médicaux

L'utilisation abusive des masques médicaux et des autres moyens de protection constitue en effet une mise en danger directe de la santé publique (pénurie et spéculation).

Ces consignes visent à promouvoir l’utilisation rationnelle des masques médicaux et des autres moyens de protection.

 

1. Gestion des masques et autres moyens de protection

Dans les institutions de soins et les pratiques de groupes, la gestion des masques et des autres moyens de protection doit être centralisée et placée sous une direction unique. Ces derniers ne doivent pas être laissés en distribution libre au sein de ces structures. De manière générale, il faut : 

  • rappeler les précautions générales (standard) d’hygiène;
  • assurer une information correcte et complète des prestataires de soins (et du personnel soignant) au sujet du COVID-19 et de l’usage rationnel des masques et des autres moyens de protection ; 
  • interdire le port de masques médicaux en routine par le personnel non impliqué dans les soins aux patients (par exemple, le personnel administratif, le staff technique, le personnel de laboratoire, le personnel des guichets d’accueil qui ne sont pas en contact direct avec les patients, etc.) ;

 

2. Décisions générales en matière de continuation du système de soins
 
Le Risk Management Group a décidé le 18 mars que toutes les activités électives fournies dans le cadre des soins en ambulatoire et/ou des pratiques privées devaient également être annulées, à l'exception des mesures de prévention essentielles, notamment la vaccination des bébés de moins de 15 mois et le dépistage néonatal.
Cette règlementation générale est bien entendu de grande importance au regard de l'utilisation rationnelle des masques. Les masques ou autres équipements de protection ne peuvent être utilisés que pour des soins non électifs.

 

3. Utilisation des masques

Les masques offrent deux types de protection : celle destinée au patient et celle destinée au prestataire.

 

3.1. Les masques chirurgicaux

Le masque chirurgical, qui a pour rôle de protéger son utilisateur lors des soins et actes médicaux, peut être utilisé par les prestataires de soins (et le personnel soignant) en extra-mural : 

  • lorsqu’il y a contact avec des patients COVID-19 possibles ou confirmés dans les centres de triage ;
  • lorsqu’il y a contact avec des patients COVID-19 possibles ou confirmés pour tous les soins de première ligne et les soins à domicile ;
  • pour les patients COVID-19 suspects ou confirmés isolés en collectivités résidentielles, telles maisons de repos et de soins, centres de revalidation, prisons, etc ;
  • tout transport de patients, à l’exception du transport de patients COVID-19 possibles ou confirmés pour lesquels un transport dédié est prévu (dans ce cas, utilisation de FFP2) ;
  • lors de la manipulation par le personnel des morgues et employés des pompes funèbres d’un patient COVID-19 possible ou confirmé décédé.

 

Bien qu’il soit normalement à usage unique, le masque chirurgical peut, étant donné les circonstances actuelles, être utilisé par les prestataires de soins (et le personnel soignant) dans les conditions exceptionnelles suivantes :

  • pendant 8 heures indépendamment de la séquence des interventions, sans sortie à l’extérieur ;
  • à cette fin, peut donc être conservé sur soi (autour du cou) mais jamais dans la poche ;
  • peut être provisoirement conservé à l’abri de toute contamination (par exemple, dans une enveloppe individualisée en papier ou dans un bac personnalisé lavable) ;
  • ne peut jamais être touché sur sa face antérieure ;
  • doit être immédiatement éliminé dès la présence de souillures macroscopiquement visibles. 

Dans cette situation d’exception, le respect strict des recommandations en matière d’hygiène des mains est indispensable.
Ces consignes d’exception concernant les masques chirurgicaux doivent être levées dès la fin de l’épisode épidémique de COVID-19.

Vous pouvez retrouver la communication complète concernant l'avis du Conseil supérieur de la Santé via ce lien.

Programma Lentecolloquium

Kwaliteit van zorg, een uitdaging!

Programme Colloque du printemps

La qualité des soins, un vrai défi!

Kan ik het GMD aanrekenen bij een vluchteling? - Peux-je facturer le DMG chez un réfugié?

 

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anoniem:

Rekenen medische huizen het GMD aan voor asielzoekers bij OCMW's?

Wij hebben daarover nu discussie met het OCMW. Deze mensen vragen vaak een grote inspanning van de praktijk en zijn soms jaren in de praktijk. 

anonyme:

Les maisons médicales facturent-elles les GMD aux demandeurs d'asile du CPAS?

Nous en discutons actuellement avec le CPAS. Ces personnes nécessitent souvent un grand effort de la pratique et sont parfois mises en pratique pendant des années.

Contact tracing - contactonderzoek - dépistage des contacts

 

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Anoniem:

Hoe verloopt deze contacttracing en wat is mijn rol als arts?

Anonyme:

Comment fonctionne cette recherche de contacts et quel est mon rôle en tant que médecin?

Een bewoner van een WZC - un résident d'une MRS

 

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Filip:
een bewoner van het WZC (waarvoor wij dus geen verpleegkundige forfait krijgen) gat ikv het corona-gebeuren enkele weken bij zijn zoon wonen. Daar zou thuis dan wel thuisverpleging komen. Komt dat dan te koste van ons of gaat dit naar de mutualiteit?

Filip:
Un résident d'un MRS (pour lequel nous ne recevrons pas un forfait I) vient vivre pour quelques semaines chez son fils, vu la situation corona.
Là, on a besoin des soins infirmières à domicile. Les soins sont à charge de notre maison médicale où à la mutualité ?

Rémunération pour les prestations à distance sans contact physique

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1) Aux différents soignants de dispenser des soins aux patients sans contact physique.

2) De facturer ces prestations à l’assurance soins de santé.

3) Aux patients de bénéficier de l’intervention financière de l’assurance soins de santé. 

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Chers membres,

Par cette voie nous voulons partager les 'bonnes pratiques' de nos maisons médicales en Belgique.

Le projet Flux électronique 2020 - powerpoint congrès

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